voyons les poétiques

ce jeux est tout bête . il faut que une personne dons deux voir 6 mots et que la personne suivante nous face des jolies phrase ou une poésie :

exemple :

ainée , désiré

Toi mon ainée qui est toujours à mes côté laisse moi devenir ta désiré pour l'éternité

donc pour commencer je donne les mots

nuage ,visage , ensoleiller

l'ombre du doute comme frele nuage assombrit ton doux visage ,du bout de mes doigts ,simple caresse pour à nouveau l'ensoleiller..

fuite ,yeux ,message

trop beau

Des que j'ai reçus ton message si angélique j'ai eu la larme au yeux . J'ai décider de prendre la fuite pour venir te retrouver mon aimée


rose , orage , mémoire

Dans ma mémoire a jamais gravé, ton visage tel une rose, magnifié par l'éclat de l'orage qui gronde au loin.

pluie, flaque, feuille.

portée par la brise légère la feuille diaphane virevolte et danse sous la pluie ,mais au soir elle se perdit dans une flaque miroir

loup,nuage, histoire,femme

Si seulement tu avais enlevé ton loup, Femme, que j'aie pu voir cette histoire sans nuage...

pomme, neige, chat, pâtes

le majestueux chat des neiges joue avec une pomme d'or, puis las et affamé ,il retourne à l'auberge des félins ou la serveuse lui servira un plat de pates aux saumon .
évidence,eternel,manoir, finesse

Les vampires ont une vie éternel et ils aiment dormir dans le manoir, ce qui semble être une évidence c'est qu'ils apprécient le sang humain qu'ils dégustent avec finesse.

football,victoire, défaite,trophée

une jolie victoire sur le football remportée par un envol de fées qui suspendit le jeu durant quelques instants ,l'une d'elle emporta le trophée d'argent nulle défaite ne fut célébrée ce jour là...

safran,poussières,étonner,caractère

Suspendre le temps en contemplant les poussières céleste, n'ayant pas d'âge.
Suis-je mort? Pour avoir le privilège de voir ceci, ou bien est-ce un mirage?
Il suffit de voir la lenteur de ces particules pour être étonné,
décontenancer, invité à danser je me laisse voyagé et chantonné.

Moi qui ne suis pas entouré d'une boîte en fer je transite dans l'univers.
Je pars, je fuis vers cette lumière qui a de l'intelligence et du caractère.
oh non le soleil qui m'appelle à lui, je me réchauffe et perds pied.
Je dérive vers la chaleur, la moiteur de l'été, dure réalité!

Mes poussières elles s'accélèrent, leur vitesse devient tourment!
Et cette odeur qui me précède, je la connais, et ce parfum,
mes yeux s'ouvrent, ma respiration est conquise par l'odeur de mon jardin.
Je m'étais endormi au pied d'un arbre près des fleurs de Safran.

Rivière, jeux, caresse, vert

Magnifique

:Merci:

Tu aimes Rock?

J'intitule ces lignes Réveil, une totale improvisation inspirée par les lignes que j'ai lu.... D'ailleurs j'adore ce jeux de mots. Bisous.

oui j'aime Stu :eeeAAAARr!!:

:Merci: :Merci: et :Merci: tu es un amour.... Et toi tu ne fais pas quelques lignes....? Tu en as déjà rédigé sur les vampires...

Petite confession :jmceforum: il y a des personnes intéressantes et plein de sujets sympa.

Et ton avatar j'adore....
Bisous Rock.

:MohBuzou: Stu, oh tu sais je suis pas poétiques

Hello Rock je pense pas que tu ne sois pas poétique, mais juste que tu n'oses pas... Tu peux faire un essai. Moi je ne suis pas ici pour le jugement. Cela me fait plaisir de voir que des gens réfléchissent et qui suis-je pour les juger. J'aime le fait que les gens se servent de leur intellect. Puis tu sais entre nous je ne suis pas poète... Sinon tu serai d'accord pour m'en dire plus sur toi?

:MohBuzou: :MohBuzou: :MohBuzou: Rock

:MohBuzou: oui te dire plus sur moi, mais pas sur le forum.

Salut Rock je comprend ta position si tu veux me parler ailleurs je suis op... Pourquoi pas sur Msn, par exemple, si tu veux...

:MohBuzou:

On verra

Au fil de ma rivière coulent de longues algues dont le vert joue avec la lumière

leurs jeux comme mille caresses sont un plaisir pour mes yeux bleus-verts

suis-je tellement imprégnée de ces images que dès que je ferme les yeux

ma Sorgue me revient en mirage et je souris d'un air amoureux.

odeur, chaude, sable, doré

amour, passion, Automne, mélancolie.

La mélancolie de l' automne ,
Me rend triste, parce que je repense
à nos moments, de passion , de partage ,de désir
Et à notre amour qui est éternel ...

Bleu ,océan, vague ,rubis

Vous assurez les filles !

Dans le bleu de tes yeux il y a l'infini du ciel
Ou étais-ce l'océan, un peu salé, voir irréel
J'ai même cru y voir parfois l’éclat du rubis
Et si tu me dis que ce n’étais qu'un vague reflet
Alors tempi, je te dirais quand même merci.


Enchantement, oiseau, miroir, mélodie, espoir.

Un jeu intéressant *-*

Voyons voir...

Un matin comme un autre, à l'enchantement anodin,
Où la lumière du soleil, comme une flèche d'airain,
Transperce mon Espoir profane.

Cette mélodie fluette d'un oiseau clandestin,
Qui brave l'hiver à l'abri d'un pin,
M'apparaît tout à coup comme le miroir de mon âme...



Soir, désir, bulle, paresse

Je suis désespérée…
Désespérément amoureuse de toi…
J’ai l'impression de faire un mauvais cauchemar duquel je vais enfin me réveiller !
Mais non, chaque jour c’est pareil…
Je ne fais que penser à toi du matin au soir, et du soir au matin…

Sur le sable, alanguies, nos corps, aimants, sont scellés par l'infini désir. Le soir teinte le ciel d'un dégradé multicolore, du rouge pourpre jusqu'au bleu nuit, les étoiles éclaboussent nos yeux et semblent flotter comme bulles de savon. Ce spectacle grandiose de notre mère nature invite à la paresse. Ta main se lie à la mienne, mes lèvres, iodées par l'air de l'océan se posent sur les tiennes...nous ne sommes plus qu'une âme, qu'un cœur, qu'un corps en harmonie avec le ressac des vagues.


Fée, étoile, soleil, lune

Après 3 mois de ton absence
Après 3 mois sans ton visage
Après 3 mois sans ton amour
Je compte les jour qu'il nous reste avant de nous retrouver
Avant de nous enlacer
Ta main dans la mienne
Ton cœur et le mien s’émerveilleront j'espère que nos âme se retrouverons et qu'elle serons les même que lorsque tu es partie
Sans toi ma vie semble fade
Pas un jours ne s'écoulent sans que je pense a toi je t'aime mon amour
Et j'espère vraiment que rien ne changeras a ton retours

A toi mon cœur qui pour le moment est à l'autre bout du monde

fée, étoile, soleil, lune

j'arrache les racines des arbres et je broute les étoiles
je hais les fourmis et déchire les quartiers de lune
je ne me tiens bras écartés sans chemise totalement à poil
fée ensorcelant ton absence de ma violence

sacrement, oser, vertige, mensonge

ma tête tourne, j'ai le vertige, le vide m'appelle. Autour de moi , je vois tes mensonges gagner mon coeur et le faire saigner. Comment as tu osé me blesser de la sorte ?
ai je mérité ce sacrement de desespoir ? je meurs petit à petit dans le silence, mes sanglots se noient dans la mer de la tristesse....................


Vivre, poésie, chanson, amour, haine

une ritournelle me torture qui répète
j'ai un trou dans l'estomac
qui m'empêche de vivre mais je suis toujours en vie
j'essaye de sortir les maudits de ma bouche en poésie
mais ni haine ni amour que du désœuvrement
je veux arrêter définitivement la chanson
et me taire à jamais

épée, carcasse, ligne, descendre, sec.

« Franchis la ligne » dit-elle,
Cette petite voix, voie du noble sentiment.
Je n’ose complètement au départ,
Gravir ce versant dénué du gris asphalte,
Où la faune abonde, se tient et m’attend,
Où la flore se dresse, impérieuse, insolente,
Dignes de la haute diversité malaisienne.
Tantôt la lumière se jette sur la ligne,
Tantôt de vieilles carcasses refont leur apparition.
Redoutant le jaillissement impromptu d’une épée,
Qui viendrait ridiculiser mon élan,
J’hésite.
Puis je me lance.
Presque aussitôt, c’est pour qu’un hasard étranger,
Avec fulgurance, me fasse descendre aussi sec.
La ligne, incompréhensible et sauvage,
Est redevenue noire.


Possède, bataille, verre, rhinocéros

te rappelles tu de ce safari que nous avons fait,
où nous avions vu ses rhinocéros,
c'était le temps où l'amour nous berçait,
où ton coeur me possèdait entièrement !

après quelques verres, enivrés de tes belles paroles,
je me lance dans la bataille de mes sentiments,

m'aimes tu comme je t'aime ? dis le moi, cries le moi, ecris le moi,
et surtout prouve le moi

calimero as tu oublié de faire une proposition de mot ?

oups désolée, tellement concentrée lol


arme, pleur, fleche, amour

Lorsque Robin tira sa flèche
Il s'aperçut de son erreur
Sa douce étant en pleurs
Ce qui ne fanait pas sa peau de pêche

Robin tomba les armes
Et s'agenouilla pour déclarer sa flamme
Au clair de lune sous les tours
Il loua ses beaux atours


Ainsi commencèrent ses amours
Et aventures avec Lady Marianne


chat, horloge, robot

Assise face à l'horloge
je compte le temps qui nous sépare.
Je me souviens de ces éloges
où mon coeur s'egare

tel qu'un chat à l'affut, j'épie ma proie
je te regarde et je me sens sans vie
tel qu'un robot, je marche dans but
et mon coeur se vide petit à petit



regret, épée, amour, haine désespoir

Vlà encore une épée :p

Comme une épée qui s’enfonce dans l’abdomen,
Les mots jaillissent et font vaciller,
Incorporation violente et limpide,
De temps à autres fort jouissive.
M’enfin quand va-t-on cesser d’agiter le drapeau
Du désespoir, et de faire rager l’espoir ?
Toujours est-il que les regrets on s’en br*nle.
Et restent méconnus de mon vocabulaire.
Amhaine.

native, clair-obscur, idée, enracine

Native d'Italie
Serena aime à plonger son regard
Dans ces peintures du clair-obscur
Le Caravage, de La Tour, Rembrandt, Joseph Wright of Derby ...

L'idée du sfumato la titille de plus en plus
Mais prendre le pinceau la rebute
Quelques croquis au fusain, quelques dessins à l'encre
Mais peindre une toile était trop prenant

Vernis, pigments, huile de lin, gesso s'accumulent dans l'atelier
Les bocaux de verre irradient la lumière
L'odeur de térébenthine embaume et s'infiltre dans les lieux
Piquante mais rappelant le vieux canapé de cuir
Ciré de sa grand-mère

Les souvenirs remontent en elle
La clarté de l'aube, les ocellés d'automne
Les lumières grises du crépuscule
Laissent petit à petit leurs empreintes
Et s'enracinent en un tableau imaginaire
Qui ne demande qu'à prendre vie ...



chevelure, pendule, cristal, danse

A la lueur de la lune,
Je danse pour attirer l'amour.

En suivant le rythme du pendule,
En souhaitant qu'elle me fasse la cour.

Sous sa chevelure de cristal et d'argent,
Je nous vois nous aimer pour longtemps.



TAPIS, VIE, YEUX, GRÂCE

Sur le tapis devant la cheminée
Tes yeux brillent tout illuminés
Ton ventre arrondi porte la vie
Avec tant de grâce, tu me souris

Ciel-sourire-vague-sable

Les yeux levés vers le CIEL Turquoise, ( =P )
un doux SOURIRE s'illumine sur ton visage,
tu écoute la VAGUE aller et venir,
la chaleur du SABLE sous tes pieds,
Voici quelques sens en éveil.

bon c'était facile de placer Turquoise avec ciel, j'espère tu m'en veux pas Turquoise =)
J'aime beaucoup ton texte.


AIMER-FEMME-DESIRE-AVENIR

Pas du tout, merci OnAkuneVie

A tes côtés je sais ce qu'aimer veut dire
Tu es la femme que je désire
Cet enfant, fruit de notre amour
A pour avenir un chemin de velours

La suite du 1er quatrain

Maison-labeur-union-Noël

Mes yeux se posent une dernière fois sur cette maison
Fruit d'un dur labeur, d'une tendre passion
Quelques flocons dansent dans une parfaite union
Amenant Noel et sa douce saison

Feuille-rivière-chant-griffe

Le chat rentre ses griffes pour jouer
Avec la brindille de feuille épurée
Au bord de la rivière en crue
Le chant du merle s'accentue

Musique - gaie - automne - dénudé

La musique de l'automne


Lorsque les feuilles tombent,
C'est le début du monde sombre.
Lorsque les arbres sifflent,
Le vent est définitif.

Les arbres se trouvent dénudés
Par la douce musique
Poussé par le vent, enchanté.
Il ne change jamais son disque.

Il pourrait en perdre de sa splendeur,
Si c'est note s'en allait.
L'automne dans tout sa grandeur,
Qu'y a-t-il de plus gaie ?

Que de sentir le vent sur son visage.
Peut être le beau paysage.
Quand bien même il devient monotone
Face à dame automne.


OR


Nature, gouffre, recyclage, rivière

Une nuit comme une autre

C'est quand le Soleil s'enfuit
Que l'enfer surgit,
Que la Lune endurcit
Me rappelle à mes ennuis.

C'est quand dort le commun des mortels
Que la vrai nature s'éveille,
Que les démons qui souffrent,
Creusent un peu plus mon gouffre.

C'est quand mes pensées s'évadent,
Que la folie me gagne,
Que mes choix du passé,
Subissent un recyclage mouvementé.

C'est quand le jour se lève ,
Que mes larmes se taisent,
Que mon cerveau s'assagit,
Bercé par la rivière de la vie.


Chaos- fleur- tunnel- briser

Dans le chaos de ma vie
Je cherche le bout du tunnel
Cette petite fleur sauvage
Qui pourra enfin briser l anathème.

On continue

Chant, étoile, voie, charme

Les étoiles explosent en particules de poussières
Troublant le chant silencieux du vide spatial.
La voie lactée fait ses tourbillons de lumière,
Et tandis que Vénus fait la belle, Mars bataille.
Le cosmos a ses mystères, le cosmos a ses charmes.

Pluie - arme - courir (peut se conjuguer)

Une pluie de larmes s'abat sur cette femme,
N'ayant plus la force d'utiliser son joli sourire,
Cette arme si précieuse montrant sa grandeur d'âme,
Il ne lui reste plus que ses petites jambes pour courir.

Mélancolie - offrir (verbe qu'on peut conjuguer) - table

Mel s'approcha d'une délicate ancolie
Elle la cueillit et la mit au milieu des autre fleurs
Quel beau bouquet que celui-ci
Sur la table, pour sa Belle, elle le posa lui offrant ainsi son coeur.

Prunes - jonquille - éthéré - rivière