- polochonne
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Date d'inscription : 12/05/2014
Début de petite nouvelle
Dim 18 Mai - 16:50
Voilà c'est le début d'une petite nouvelle que j'ai déjà bien en tête. Bonne lecture
La jeune fille vierge qui cherchait désespérément son âme.
Elle était magnifique, avec ses yeux clairs, sa longue chevelure orange. Ses boucles tombaient sur le bas de son dos. Son sourire éclatant, rempli de joie, de bonheur. Quelques taches de rousseur sur son petit nez qui remontait en trompette. Et ses yeux, oh ses yeux... ils étaient si beaux... d'un bleu aussi clair que le ciel d'un matin d'été doux. Ils étaient en amande. Ses grands cils lui ouvraient le regard sur le monde. Et ce monde, pour elle il était beau. Beau... Oui... Mais pas pour tout le monde, pas pour elle... Ses sourcils fins et de la même couleur que sa chevelure lui rajoutait du charme. Sa peau pâle et douce, ses longues jambes recouverte de moitié par une petite robe rose pâle avec quelques fleurs blanches imprimées. Ses bras nus se percutaient au vent. Au doux vent de l'après-midi. Elle n'avait pas mis de chaussures ; elle avait toujours trouvé ça inconfortable. Elle était comme ça cette fille. Cette fille dont personne connaissait le prénom. Elle était toujours souriante, heureuse, douce. Mais elle ne respectait pas les normes de ce monde. Elle était rebelle aux règles. Un arrière goût de sauvagesse se sentait quand on l'embrassait. Et puis que c'était agréable de l'embrasser ! La lèvre supérieur qui remontait légèrement. Quand on caressait ses lèvres du bout des doigts on avait l'impression d'être sur un nuage. Un nuage léger. Elle était assise sur le porte-bagage de ce garçon qu'elle ne connaissait pas. Elle n'étais pas naïve elle savait très bien ce qu'elle faisait. Et ce garçon en la voyant sautiller le long du chemin qui menait à la forêt ne pus s’empêcher de lui proposer une ballade. Ballade qui allait finir comme elle l’espérait. Elle adorait ça ! A bientôt 19 ans sa vie était un mystère. Elle lui dit d'une voix sensuelle et douce de s'enfoncer dans la forêt désertée même par le plus petits des écureuils. Cette idée excitât encore plus ce garçon. On ne savait pas le prénom du garçon. Elle ne voulait pas le savoir pour le moment. Pendant qu'il pédalait elle caressât son torse lui arrachant un bouton de sa chemise. Elle lui disait qu'elle avait hâte. Elle se mordait la lèvre inférieur. Et dans un coin isolé ils s'arrêtèrent. Le garçon la prit violemment contre lui. L'embrassant langoureusement, lui mordant la lèvre. Un lion qui croquait dans une gazelle qui attrapait les cheveux bruns et raides du garçon. Elle leva la jambe, et lui demanda : « Alors mon chou, tu m'as pris avec toi pour me donner du plaisir non ? Alors l'intrépide lui répondit « Ma petite puce je vais t'apprendre le plaisir ! »
D'un sourire étrange elle le regarda dans le blanc des yeux. Le cri du jeune homme se fît entendre par au moins tous les oiseaux aux alentours qui s'envolèrent en rythme. Il la fuit, du moins il essaya. Son visage avait changer. Dans ses yeux on voyait la fille la plus laide, la plus cruelle que ce monde ai porté. Elle se mit sur lui immobilisa, elle fit glisser la braguette de sa victime d'un cou sec. D'une main elle tenait le pénis du garçon et de l'autre elle tenait une des mains rugueuses et pleines de terres du beau brun d'une vingtaine d'années.
« C'est avec ton chibre pourri que tu l'as violé. Elle ne t'as pas suffit il fallait que tu me baises moi aussi ?! Elle n'avait rien demandé tu sais. De tes mains tu l'as tuée. Tu lui as fait quoi déjà ? Bon elle est pas morte de ton étranglement sauvage. C'est ce qui te fait jouir comme un porc la strangulation. Ah oui c'est vrai. Johanna est morte sous les coups. Battue a mort. Dis moi ton nom, je veux savoir qui vas mourir dans cette foutue forêt ! » Elle finit son monologue par un rire aiguë et rapide. L'homme se débattit, hurla tans qu'il pût, rien n'y fît. C'est au moment ou elle lui mis un couteau qu'elle sortit d'en dessous de sa robe sou son cou qu'il ne gémit plus et qu'il lui dit son prénom. Il s'appelait Franck.
Un trentaine de minutes plus tard la fille était sur « son » vélo souriante, belle. Elle essuyât une trace de sang sur sa joue rose. Son plan ne venait que de débuter. Elle allait venger sa vie.
La jeune fille vierge qui cherchait désespérément son âme.
Elle était magnifique, avec ses yeux clairs, sa longue chevelure orange. Ses boucles tombaient sur le bas de son dos. Son sourire éclatant, rempli de joie, de bonheur. Quelques taches de rousseur sur son petit nez qui remontait en trompette. Et ses yeux, oh ses yeux... ils étaient si beaux... d'un bleu aussi clair que le ciel d'un matin d'été doux. Ils étaient en amande. Ses grands cils lui ouvraient le regard sur le monde. Et ce monde, pour elle il était beau. Beau... Oui... Mais pas pour tout le monde, pas pour elle... Ses sourcils fins et de la même couleur que sa chevelure lui rajoutait du charme. Sa peau pâle et douce, ses longues jambes recouverte de moitié par une petite robe rose pâle avec quelques fleurs blanches imprimées. Ses bras nus se percutaient au vent. Au doux vent de l'après-midi. Elle n'avait pas mis de chaussures ; elle avait toujours trouvé ça inconfortable. Elle était comme ça cette fille. Cette fille dont personne connaissait le prénom. Elle était toujours souriante, heureuse, douce. Mais elle ne respectait pas les normes de ce monde. Elle était rebelle aux règles. Un arrière goût de sauvagesse se sentait quand on l'embrassait. Et puis que c'était agréable de l'embrasser ! La lèvre supérieur qui remontait légèrement. Quand on caressait ses lèvres du bout des doigts on avait l'impression d'être sur un nuage. Un nuage léger. Elle était assise sur le porte-bagage de ce garçon qu'elle ne connaissait pas. Elle n'étais pas naïve elle savait très bien ce qu'elle faisait. Et ce garçon en la voyant sautiller le long du chemin qui menait à la forêt ne pus s’empêcher de lui proposer une ballade. Ballade qui allait finir comme elle l’espérait. Elle adorait ça ! A bientôt 19 ans sa vie était un mystère. Elle lui dit d'une voix sensuelle et douce de s'enfoncer dans la forêt désertée même par le plus petits des écureuils. Cette idée excitât encore plus ce garçon. On ne savait pas le prénom du garçon. Elle ne voulait pas le savoir pour le moment. Pendant qu'il pédalait elle caressât son torse lui arrachant un bouton de sa chemise. Elle lui disait qu'elle avait hâte. Elle se mordait la lèvre inférieur. Et dans un coin isolé ils s'arrêtèrent. Le garçon la prit violemment contre lui. L'embrassant langoureusement, lui mordant la lèvre. Un lion qui croquait dans une gazelle qui attrapait les cheveux bruns et raides du garçon. Elle leva la jambe, et lui demanda : « Alors mon chou, tu m'as pris avec toi pour me donner du plaisir non ? Alors l'intrépide lui répondit « Ma petite puce je vais t'apprendre le plaisir ! »
D'un sourire étrange elle le regarda dans le blanc des yeux. Le cri du jeune homme se fît entendre par au moins tous les oiseaux aux alentours qui s'envolèrent en rythme. Il la fuit, du moins il essaya. Son visage avait changer. Dans ses yeux on voyait la fille la plus laide, la plus cruelle que ce monde ai porté. Elle se mit sur lui immobilisa, elle fit glisser la braguette de sa victime d'un cou sec. D'une main elle tenait le pénis du garçon et de l'autre elle tenait une des mains rugueuses et pleines de terres du beau brun d'une vingtaine d'années.
« C'est avec ton chibre pourri que tu l'as violé. Elle ne t'as pas suffit il fallait que tu me baises moi aussi ?! Elle n'avait rien demandé tu sais. De tes mains tu l'as tuée. Tu lui as fait quoi déjà ? Bon elle est pas morte de ton étranglement sauvage. C'est ce qui te fait jouir comme un porc la strangulation. Ah oui c'est vrai. Johanna est morte sous les coups. Battue a mort. Dis moi ton nom, je veux savoir qui vas mourir dans cette foutue forêt ! » Elle finit son monologue par un rire aiguë et rapide. L'homme se débattit, hurla tans qu'il pût, rien n'y fît. C'est au moment ou elle lui mis un couteau qu'elle sortit d'en dessous de sa robe sou son cou qu'il ne gémit plus et qu'il lui dit son prénom. Il s'appelait Franck.
Un trentaine de minutes plus tard la fille était sur « son » vélo souriante, belle. Elle essuyât une trace de sang sur sa joue rose. Son plan ne venait que de débuter. Elle allait venger sa vie.
- yukirocks
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Re: Début de petite nouvelle
Dim 18 Mai - 18:02
Très sympathique ton petit début de nouvelle...ça donne envie de lire la suite
- NinaPomme
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Re: Début de petite nouvelle
Dim 18 Mai - 20:50
Ow :° Vui la souite siltoplé !
- polochonne
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Re: Début de petite nouvelle
Mar 20 Mai - 13:18
CE SOIR OU DEMAIN LA SUITE!!
Bon je vous la poste tout de suite puisque je l'ai finie. Mais ça sera peut être la dernière suite ici. J'ai peut être l'opportunité de rencontrer une écrivain. Et si elle peut pas m'appuyer ou que mes textes lui donnent la gerbe je continuerai surement sur un blog que je vous enverrais. Mais pour savoir si je fait un truc j'ai besoin de vos avis. Donc voilà la suite. Bonne lecture les filles
PARTIE 1: JOHANNA
I. Le stagiaire du coin de la rue
Johanna elle était mignonne. Elle se donnait une image de rebelle. Avec ses cheveux bruns coupés courts et sa petite mèche violette qui tombait devant ses grands yeux verts. Elle nous regardait toujours froidement au début, son regard nous transperçait comme un poignard. Mais peu après on se rendait compte que c'était la fille la plus généreuse et à l'écoute de tous les lycéens. Elle était au lycée Édouard Vaillant dans un petit village où tout le monde se connaissait. Le nom de ce village ? Depuis ce qui s'est passé personne ne dit son nom. Johanna tout le monde l'aimait, surtout ce garçon. Un nouveau qui était stagiaire chez monsieur Le Dovet. Ah monsieur Le Dovet ! Le meilleur boulanger sur cette terre ! C'était un vieux papi, qui gâtait tous les enfants avec ses pains au chocolats. Johanna était sa petite princesse. -Elle qui n'aimait pas les pains au chocolats. Elle était unique celle-là qui n'aime pas les pains au chocolat de monsieur Le Dovet ?- Alors ce grand moustachu bossu lui faisait toujours deux croissant au beurre pour son petit-déjeuner qu'elle prenait sur le trajet du lycée en courant. Johanna était toujours en retard en cours. Elle parlait tellement à son tonton de cœur. Rien que pour lui raconter les rêves qu'elle avait fait la nuit. Et parfois elle était énervée. Alors elle loupait la première heure de cours. Johanna n'aimait pas les garçons. Pourtant eux ils l'aimaient. Pendant les cours de piscine elle portait toujours son bikini noir. Ce n'étais pas pour draguer les garçons au contraire. Elle n'aimait pas les maillots de bain une pièce, elle trouvait ça laid quand il n'y avait pas de coque à la poitrine. Enfin le fait est encore plus grand, avec son corps de rêve elle ne laissait pas indifférent tous les garçons. Un matin d'automne doux elle était en tee-shirt blanc avec une tête de mort féminine qui embrassait un petit hamster, avec le vieux jean de son père qu'elle avait déchiré il y a déjà un mois en tombant. Elle avait mis des petites baskets noires. Elle passait comme d'habitude dans sa boulangerie préférée et au lieu de voir son tonton, elle le vit. Un brun, un beau jeune homme. Mais elle ne se laissât pas aller par ses sentiments elle lui sourit et dit :
-Salut toi, il est là Le Dovet ?
-Bonjour ma belle demoiselle, non désolé, il ne se sentait pas bien il est rentré chez lui.
-Oh... Je devrais passer le voir à plus !
-Non ! Johanna ! Attend !
-Pardon ? Tu connais mon prénom ?
-Bah tu sais ça fait un mois que je suis ici... J'ai entendu ton prénom des centaines de fois. Tiens je t'ai fait tes croissants j'y ai ajouté quelque chose, ma signature.
-C'est quoi ta signature ?
-Tu verras ma belle. Vas en cours tu vas être en retard !
Elle prit ses croissants et s'en allât. C'était la première fois qu'elle n'était pas en retard. Cependant elle marcha tellement lentement qu'elle arriva avec cinq minutes d'excusées. Elle pensait à son beau stagiaire inconnu. Elle savait qu'il avait un an de plus qu'elle. Mais le reste de sa vie elle n'en avait aucune idée. Qui aurait pensé que son premier amour serait le dernier ?
Pendant qu'elle marchait elle ne mangeait pas ses croissants mais elle les observait. Elle les observait pour trouver cette mystérieuse signature. Et pendant qu'elle les regardait elle fût surprise de se cogner contre la barrière de son lycée. Elle se coupa dans ses rêveries, rangea ses croissants dans son sac a bandoulière et sonna pour entrer. Comme à son habitude le gardien odieux lui fit une leçon de morale qu'elle n'écoutait plus depuis longtemps. Elle se pressa pour aller à son cours de travaux pratiques. A sa grande surprise tout le monde était calme. Elle se dit que c'était sûrement elle qui mettait l'ambiance de tous les jours dans la classe au final. Elle s'excusa auprès de la professeur sans même la regarder, dit bonjour à tout le monde et s’assit à côté de sa meilleure amie qu'elle connaissait depuis qu'elles avaient huit ans. Ce qu'on pouvait dire de toutes les deux c'est qu'elles n'avaient pas le même style du tout. Mais elles étaient très belle toutes les deux.
-Devine qui est là truffe de chèvre !
-Laisse moi deviner, la classe et la prof ?
-Oh arrête ! Regarde droit devant tu vas aimer ce que tu vas voir !
-Dis moi le nom de cette personne j'ai faim je veux manger mes croissants, d'ailleurs ils sont passés où ?
-Oh je connais pas son prénom. Et j'ai pas envie de savoir, c'est pas mon style !
Alors Johanna qui ne trouvait pas ses croissants regarda en direction du tableau et elle resta bouche bée. Sa trousse qu'elle tenait dans ma main droite tomba par terre. Tous ses stylos s'éparpillèrent autour de sa chaise, son taille crayon se renversa entièrement. D'habitude elle se serait énervée mais là bizarrement elle ne regardait plus que lui. Un coup de coude de la part de sa fidèle acolyte lui remis les pieds sur terre. Elle ramassa tout ce qu'elle avait fait tombé par terre mais sans décrocher son regard questionneur de lui. Qu'est-ce qu'il faisait là ? Et puis pourquoi dans sa classe ? Et nom de dieu ! Pourquoi il arrêtait pas de la regarder avec son sourire. Son sourire d'ange... Non Johanna ne te laisse pas aller ! Tu ne les aimes pas les garçons ! Mais lui il avait quelque chose de spécial. Presque invisible.
Elle se rendit compte qu'elle ne le regardait plus depuis au moins cinq minutes quand il apparut devant elle et l'aida à ramasser ses crayons de couleurs. De sa main encore farineuse il lui caressa la joue, remonta jusqu'à sa mèche et lui glissa derrière l'oreille. « Tes yeux sont magnifiques, arrête de les cacher ». Cette phrase résonna en Johanna encore et encore. Tes yeux sont magnifiques arrête de les cacher ; Tes yeux sont magnifiques arrête de les cacher ; Tes yeux sont magni... Mince Mme. Biblouse qui nous regardait ! Elle rangea vite tout dans sa trousse s'assit sur sa chaise.
« Alors aujourd'hui nous avons la visite de quelqu'un de spécial qui m'a proposé un travail différent de ce que nous faisons d'habitude. Donc monsieur.. d'ailleurs monsieur comment ? » Johanna attendait ce moment, savoir son prénom !
« Appelez-moi juste le stagiaire du coin de la rue ». Il sourit à Johanna qui se posait encore plus de questions. Mais qui était-il ?
Bon je vous la poste tout de suite puisque je l'ai finie. Mais ça sera peut être la dernière suite ici. J'ai peut être l'opportunité de rencontrer une écrivain. Et si elle peut pas m'appuyer ou que mes textes lui donnent la gerbe je continuerai surement sur un blog que je vous enverrais. Mais pour savoir si je fait un truc j'ai besoin de vos avis. Donc voilà la suite. Bonne lecture les filles
PARTIE 1: JOHANNA
I. Le stagiaire du coin de la rue
Johanna elle était mignonne. Elle se donnait une image de rebelle. Avec ses cheveux bruns coupés courts et sa petite mèche violette qui tombait devant ses grands yeux verts. Elle nous regardait toujours froidement au début, son regard nous transperçait comme un poignard. Mais peu après on se rendait compte que c'était la fille la plus généreuse et à l'écoute de tous les lycéens. Elle était au lycée Édouard Vaillant dans un petit village où tout le monde se connaissait. Le nom de ce village ? Depuis ce qui s'est passé personne ne dit son nom. Johanna tout le monde l'aimait, surtout ce garçon. Un nouveau qui était stagiaire chez monsieur Le Dovet. Ah monsieur Le Dovet ! Le meilleur boulanger sur cette terre ! C'était un vieux papi, qui gâtait tous les enfants avec ses pains au chocolats. Johanna était sa petite princesse. -Elle qui n'aimait pas les pains au chocolats. Elle était unique celle-là qui n'aime pas les pains au chocolat de monsieur Le Dovet ?- Alors ce grand moustachu bossu lui faisait toujours deux croissant au beurre pour son petit-déjeuner qu'elle prenait sur le trajet du lycée en courant. Johanna était toujours en retard en cours. Elle parlait tellement à son tonton de cœur. Rien que pour lui raconter les rêves qu'elle avait fait la nuit. Et parfois elle était énervée. Alors elle loupait la première heure de cours. Johanna n'aimait pas les garçons. Pourtant eux ils l'aimaient. Pendant les cours de piscine elle portait toujours son bikini noir. Ce n'étais pas pour draguer les garçons au contraire. Elle n'aimait pas les maillots de bain une pièce, elle trouvait ça laid quand il n'y avait pas de coque à la poitrine. Enfin le fait est encore plus grand, avec son corps de rêve elle ne laissait pas indifférent tous les garçons. Un matin d'automne doux elle était en tee-shirt blanc avec une tête de mort féminine qui embrassait un petit hamster, avec le vieux jean de son père qu'elle avait déchiré il y a déjà un mois en tombant. Elle avait mis des petites baskets noires. Elle passait comme d'habitude dans sa boulangerie préférée et au lieu de voir son tonton, elle le vit. Un brun, un beau jeune homme. Mais elle ne se laissât pas aller par ses sentiments elle lui sourit et dit :
-Salut toi, il est là Le Dovet ?
-Bonjour ma belle demoiselle, non désolé, il ne se sentait pas bien il est rentré chez lui.
-Oh... Je devrais passer le voir à plus !
-Non ! Johanna ! Attend !
-Pardon ? Tu connais mon prénom ?
-Bah tu sais ça fait un mois que je suis ici... J'ai entendu ton prénom des centaines de fois. Tiens je t'ai fait tes croissants j'y ai ajouté quelque chose, ma signature.
-C'est quoi ta signature ?
-Tu verras ma belle. Vas en cours tu vas être en retard !
Elle prit ses croissants et s'en allât. C'était la première fois qu'elle n'était pas en retard. Cependant elle marcha tellement lentement qu'elle arriva avec cinq minutes d'excusées. Elle pensait à son beau stagiaire inconnu. Elle savait qu'il avait un an de plus qu'elle. Mais le reste de sa vie elle n'en avait aucune idée. Qui aurait pensé que son premier amour serait le dernier ?
Pendant qu'elle marchait elle ne mangeait pas ses croissants mais elle les observait. Elle les observait pour trouver cette mystérieuse signature. Et pendant qu'elle les regardait elle fût surprise de se cogner contre la barrière de son lycée. Elle se coupa dans ses rêveries, rangea ses croissants dans son sac a bandoulière et sonna pour entrer. Comme à son habitude le gardien odieux lui fit une leçon de morale qu'elle n'écoutait plus depuis longtemps. Elle se pressa pour aller à son cours de travaux pratiques. A sa grande surprise tout le monde était calme. Elle se dit que c'était sûrement elle qui mettait l'ambiance de tous les jours dans la classe au final. Elle s'excusa auprès de la professeur sans même la regarder, dit bonjour à tout le monde et s’assit à côté de sa meilleure amie qu'elle connaissait depuis qu'elles avaient huit ans. Ce qu'on pouvait dire de toutes les deux c'est qu'elles n'avaient pas le même style du tout. Mais elles étaient très belle toutes les deux.
-Devine qui est là truffe de chèvre !
-Laisse moi deviner, la classe et la prof ?
-Oh arrête ! Regarde droit devant tu vas aimer ce que tu vas voir !
-Dis moi le nom de cette personne j'ai faim je veux manger mes croissants, d'ailleurs ils sont passés où ?
-Oh je connais pas son prénom. Et j'ai pas envie de savoir, c'est pas mon style !
Alors Johanna qui ne trouvait pas ses croissants regarda en direction du tableau et elle resta bouche bée. Sa trousse qu'elle tenait dans ma main droite tomba par terre. Tous ses stylos s'éparpillèrent autour de sa chaise, son taille crayon se renversa entièrement. D'habitude elle se serait énervée mais là bizarrement elle ne regardait plus que lui. Un coup de coude de la part de sa fidèle acolyte lui remis les pieds sur terre. Elle ramassa tout ce qu'elle avait fait tombé par terre mais sans décrocher son regard questionneur de lui. Qu'est-ce qu'il faisait là ? Et puis pourquoi dans sa classe ? Et nom de dieu ! Pourquoi il arrêtait pas de la regarder avec son sourire. Son sourire d'ange... Non Johanna ne te laisse pas aller ! Tu ne les aimes pas les garçons ! Mais lui il avait quelque chose de spécial. Presque invisible.
Elle se rendit compte qu'elle ne le regardait plus depuis au moins cinq minutes quand il apparut devant elle et l'aida à ramasser ses crayons de couleurs. De sa main encore farineuse il lui caressa la joue, remonta jusqu'à sa mèche et lui glissa derrière l'oreille. « Tes yeux sont magnifiques, arrête de les cacher ». Cette phrase résonna en Johanna encore et encore. Tes yeux sont magnifiques arrête de les cacher ; Tes yeux sont magnifiques arrête de les cacher ; Tes yeux sont magni... Mince Mme. Biblouse qui nous regardait ! Elle rangea vite tout dans sa trousse s'assit sur sa chaise.
« Alors aujourd'hui nous avons la visite de quelqu'un de spécial qui m'a proposé un travail différent de ce que nous faisons d'habitude. Donc monsieur.. d'ailleurs monsieur comment ? » Johanna attendait ce moment, savoir son prénom !
« Appelez-moi juste le stagiaire du coin de la rue ». Il sourit à Johanna qui se posait encore plus de questions. Mais qui était-il ?
- Gwizdo
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Re: Début de petite nouvelle
Mar 20 Mai - 16:48
Etonnant J'aime le style. Une plume agréable à lire, et une histoire qui laisse en haleine... (colgate ! )
J'attends la suite avec impatience Polo !
J'attends la suite avec impatience Polo !
- polochonne
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Re: Début de petite nouvelle
Mar 20 Mai - 17:49
Hihi merci Gwizdo!
- yukirocks
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Re: Début de petite nouvelle
Mar 20 Mai - 19:26
Trop bien !! ton histoire est vraiment tout plein de suspense et facile à lire
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