Faire des rêves osés à propos de femmes fait il de vous une lesbienne ?

Bonjour à toutes !

Pour celles qui ont lu ma présentation vous savez que je m'arrive pas à savoir si oui ou non je suis lesbienne, ou plutôt que je ne veux pas m'y faire, peut être...

Une question qui m'est venue cette nuit, après un rêve ma foi bien agréable ( où j'étais beaucoup plus libérée que dans la vie réelle ) je me suis demandée si les rêves révèlent vraiment l'inconscient à savoir que oui les femmes m'intéressent vraiment, ou juste la continuité de mon questionnement intérieur.. A savoir, est ce que c'est juste parce que je me pose beaucoup de questions que ça arrive jusqu'à mes rêves ?

Pas sûre d'avoir été claire !

Coucou,

Si, si, tu as été très claire. Concernant l'analyse des rêves, tu devrais attendre que Yumno lise ton sujet pour qu'elle nous donne son avis éclairé (ou contacte la directement par MP).

Je pense que si tu te poses beaucoup de questions sur ton orientation sexuelle, cela influe nécessairement sur ton inconscient. Cela ne veut pas forcément dire que ton inconscient te donne la réponse à ton questionnement intérieur. Voici ce qui pourrait expliquer ton rêve. Nos pensées du jour dictent bien souvent les rêves que l'on fera pendant la nuit, ça m'est arrivé bien souvent.

Par contre, si tu te poses autant de questions, ce n'est pas anodin. Déjà, se demander si tu pourrais l'être peut même te donner la réponse. Je m'en suis posée pendant des années avant de finir par l'accepter pleinement : maintenant je suis la femme la plus heureuse du monde, je m'assume et j'ai une chérie, tout va bien. Au fond de moi, je sais que je savais que j'étais attirée par les femmes. Mais je n'ai jamais voulu le reconnaître jusqu'à récemment. Et, comme toi, je me posais énormément de questions. C'est la raison pour laquelle je te dis que se poser des questions, que tu ne sois pas sûre de ton orientation, est déjà un indice. Je n'ai qu'un seul conseil à te donner : si tu n'essayes pas, tu resteras toujours indécise.

Entièrement d'accord avec Jenlaine.

Si tu te poses énormément de question, cela influence forcément tes phases de sommeil. On fait souvent un mix de différentes choses vécues, vues,entendues, ressenties dans nos rêves. En tout cas, cela m'arrive souvent surtout quand ce sont des émotions fortes. Cela donne parfois des rêves un peu sous acide !

Bon ben pour pas faire trop originale, complètement d'accord avec Jenlaine, tes questionnements de la journée influencent ton sommeil, c'est assez logique.

Après en effet, si déjà tu te poses la question... Y'a peut-être baleine sous gravillons...

Smoothy j'adore ton expression, je connaissais l'anguille sous roche, mais la tienne me correspond mieux actuellement ( je parle de la situation, bien sûr pas de mon gabarit ^^)

Quant aux autres,  je posais la question en me doutant bien de la réponse, mais ça me donne une petite confirmation

Essayer,  je ne sais pas si je suis prête à passer le cap,  mais toute façon vu que je ne connais aucune lesbienne, c'est pas pour tout de suite !

Par contre, quand on dit "essayer" ce n'est pas forcément sans aller très loin.
Déjà le simple fait, de te comporter avec une femme sous le mode séduction et permettre d'être séduite, de garder ton esprit ouvert à cet échange.
Cela est déjà un grand premier pas, ensuite le reste viendra ou non, les envies et le manque : envie de la voir, envie de la toucher, envie de l'entendre etc...
Ou alors comme moi, quand j'ai voulu garder ouvert mon esprit à "plus" avec un garçon (quand j'étais adolescente), tu vas éclater de rire et te dire : c'est très clair et ce n'est pas du tout cela !

Je rejoins tout le monde ! En fait, c'est simplement se laisser l'esprit suffisamment ouvert pour te permettre de faire une rencontre. De pouvoir, te laisser le choix. Parce que c'est difficile de se dire, je suis ça ou ça. J'aime les femmes ou non. J'aime les hommes ou non. Mais, dès fois de simplement se laisser le choix de pouvoir rencontrer quelqu'un c'est ce qui nous permet de nous débloquer aussi, et de nous faire comprendre ce que l'on désire